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Adolf Schunck & Margaretha Sinsteden
parents: Adolf Schunck Margaretha Sinsteden | |
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Schunck, Adam (Adam) | Margaretha Friederichs |
1655-05-30 in Lipp 1692-02-11 in ? | |
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°buchholz Sehr geehrter Herr Schunck, ich habe im Internet gestöbert und bin über einen Beitrag (mit Herrn Matzerath) "gestolpert", welcher auf eine Verwandschaft zwischen uns schließen läßt. mit freundlichen Grüßen |
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La famille SchunckUne vieille famille d’agriculteurs en Duché de JülichLa ferme domaniale Oppendorf, qui porte encore aujourd’hui le nom Schunckenhof, paroisse de Lipp près de Bedburg, arr. Bergheim s. Erft. (voir carte ViaMichelin ou Google Earth) Jusqu’à la deuxième guerre mondiale on y trouvait encore à la cimetière les pierres tombales des générations anciens des Schunck Il y a beaucoup de fermes dits "Schunckenhof", qui encore sont appellés comme ça, bien qu’ils ne soient plus exploités par des membres de la famille Schunck.
Les noms des domaines seigneuriaux viennent des anciens propriétaires, les familles apparentées nobles rurales Von Lipp et Von den Bongard. Puisque ces familles étaient domicilié occasionnellement à Winandsrade près de Valkenburg aussi, le domaine apparaît de même sous les noms « Winandsrather hof » et « Winkelhof » 1727, Ce domaine fut acquéri aux enchères par une famille Berren, mais vendu déjà le 22 novembre 1759 aux époux Schunck à 13.000 Reichsthaler. L’acte d’achat a été traité dans le couvent St. Gertrud à Düren en présence du fils, le curé Johann Heinrich Schunck et du beau-fils, Johann Meuser.
Les Schunck ont appartenu aux familles des « schöffenbarfreien Halfen » (« scabini »). Dans le « Sachsenspiegel » (miroir Saxon, enregistrement du droit saxon et du droit coutumier médiéval) ils sont qualifiés des plus anciens des libres ruraux. Quant à l’argent militaire et la pénitence ils furent traités sur un pied d’égalité avec les princes et les seigneurs libres. Ceci contrairement à l’aristocratie féodale, qui n’est pas descendue généralement de libres. En tant que des libres les plus anciens ils ont du fournir les magistrats nommés « scabini » ou « échevins », en allemand « schöffen », dans le comté ; dans le cas de guerre, ils devaient escorter leur seigneur avec un cheval et un harnais. Quand, suite aux partages de succession franconiens, les propriétés foncières libres des agriculteurs libres étaient devenues petites, ils ont loué des domaines de l’aristocratie et en particulier des églises, des monastères et des couvents. Pendant des siècles les bails sont souvent passées du père au fils, au beau-fils ou au neveu. Quand dans des temps d’urgence, suite à des querelles, à des épidémies et à d’autres phénomènes naturels la situation économique des locataires était devenue précaire et quand les fermes et les champs ont été dévastés, les locataires ont donné l’inventaire des fermes et les semences entières ou la moitiée. La récolte - le profit de l’an - a été partagé en deux dans ces cas entre les bailleurs et locataires. C’est l’origine du nom « Halbwinner » (mi-gagneur) ou « Halfe » pour de tels locataires. Mais les preneurs à bail arrivaient bientôt à la prospérité ; les profits demis furent remplacés par des baux à long terme avec des fermages au comptant ou en nature. Enfin sont qualifiés de « halfes » les exploitants sédentaires de plus grandes fermes. Vers la fin de la guerre de 30 ans, Adolf Schunck et sa femme Margaretha Sinsteden furent des « halfes » de ce genre au domaine à Oppendorf près de Bedburg, appartenante au couvent noble de St. Géréon à Cologne . Dans la Schunckiana et dans les livres d’église on les appelle pour cette raison, eux et leurs descendants « halfes de Géréon » . L’épouse était la fille du « halfe » Vinzenz Sinsteden von Wuestenrath (Rath près de Bedburg). Pendant beaucoup de générations les Sinsteden furent les preneurs à bail du domaine seigneurial de l’ordre de chevaliers allemand de la « Ballei » à Coblence et de la « Kommende St. Margarethen » à Cologne-Deutz. La famille semble d’avoir portè plus tôt le nom « Evertz » ; et d’avoir pris plus tard le nom Sinsteden d’après le domaine seigneurial d’ordre « villa magna » ; à Sinsteden près de Kommerskirchen. Conformément au document 615 des l’archif national à Düsseldorf, Rütger Sinsteden a loué le 22 février 1438 ce domaine « comme ses parents auparavant ». Rütger est le premier ancêtre connu de la famille Sinsteden. (Cf. Krebs, Histoire du village, de la ferme et de la famille Sinsteden). La ferme domaniale Oppendorf, qui porte encore aujourd’hui le nom Schunckenhof, appartenait à la paroisse de Lipp près de Bedburg, arr. Bergheim s. Erft. Jusqu’à la deuxième guerre mondiale on y trouvait encore à la cimetière les pierres tombales des générations anciens des Schunck. Le fils Adam Schunck, baptisé le 30 mai 1655 à Lipp et mort le 11 février 1692 à la ferme, y est devenu le successeur. Il était marié avec la fille du « halfe » et échevin Matthias Friderichs von Pütz et de Maria Spix. Après le décès d’Adam Schunck, la veuve a marié 15 juillet 1692 Johann Kochs de Troisdorf qui a emménagé chez elle au Schunckenhof. °°° De cette façon, la location de la ferme à Oppendorf par la famille Schunck a trouvé sa fin. Toutefois les successeurs à la ferme sont encore spécifiés brièvement:
°°° Doch zurück zu den Ankäufern des Lipp’schen Hofs, den Eheleuten Adam Schunck und Margaretha Friderichs. Von ihren 6 Kindern zog Matthias Johann Schunck, getauft in Lipp 30. März 1681, auf Rittergut Hohenholz. Nach kurzer, kinderloser Ehe mit Gertrud von Zoons heiratete er 1712 Christine Hambloch vom Großen Münchhofe, die Halbschwester des bereits genannten Halfen Heinrich Hambloch vom Schunckenhofe in Oppendorf. Aus der Ehe Schunck/Hambloch stammten 6 Kinder:
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